[Les chroniques d'un enfant oublié] Corus.

Roi des Vents Messages : 1231 Inscrit le : 26/03/2006

Les chroniques d’un enfant oublié.

Chapitre premier. Une sombre apparition.

Il était 5h33 du matin, les cris d’une femme dans la nuit, un mari qui s’éveille, une maison dans une clairière qui s’illumine, des paroles a voix basse…

Dans cette maison au toit de chaume et aux châssis râpés, un enfant venait de naître dans les draps de soie qui enveloppaient sa mère et son père quelques minutes auparavant.

Elle a pleuré, l’accouchement ne c’est pas fait sans mal, a une telle distance de tous soins disponibles.

Maintenant tout est fini, elle tient son bébé sur elle en soupirant, son mari quant a lui, se contente de sourire…

Cet enfant, voilà des années qu’ils l’attendaient, pensant avoir des problèmes de stérilité ils essayèrent à plusieurs reprises…Sans succès.

Mais pas cette fois, ce bébé devait être béni par les dieux, il était déjà si beau alors qu’il venait de naître, son regard était déjà si profond…

Il l’appelèrent : Corus.

Son père était un paysan fort membré, lorsqu’il était plus jeune, il avait eu des cours de sculpture du bois et depuis des années, il s’entraînait sur les arbres qui bordaient la clairière.

Il créait des figures, il faisait des statues et il confectionnait lui-même ses propres bâtons.

Quant a sa mère, grande couturière, elle le berçait souvent, entre 2 préparations, elle créait de nombreux vêtements qui seraient utiles à l’enfant par la suite.

Corus, lui, n’avait pas hérité de le force de son père, il ressemblait davantage a sa mère, frêle avec un fin visage sans imperfections par contre, il avait hérité de la vaillance et de tout l’esprit de son père, il en devenait même parfois…arrogant.

Les années passèrent, Corus grandissait et appris à manier le bâton aussi bien que son père.

Jeune garçon courageux, il s’aventurait quelques fois dans la foret pour chasser avec son père ou même seul, le soir, ils dînaient en famille, tous les trois, sans un mot…

Hormis ce soir.

Une ombre venait de passer devant la fenêtre, plus grande que celle d’un animal, de plus la nuit, les animaux ne s’aventurent pas jusque la clairière…C’était autre chose, les bruits de pas se faisaient entendre sur la pelouse fraîchement tondue, on tournait autour de la maison…

Mais pour quel but ?

Corus et son père empoignèrent leurs bâtons respectifs et sortirent, une lampe a huile à la main.

Il faisait froid a l’extérieur, la mère avait fermé la porte a clé et agrippé une de ses poêles, sait-on jamais…

Corus fit le tour par la droite, son père, prit l’autre coté…ils avancèrent lentement, attentifs.

Ce ne fut pas la personne qu’ils rencontrèrent derrière la maison qui leur fit peur, mais plutôt son apparence, elle se retourna sur Corus, les yeux avides de sang.

C’était pourtant une bonne amie de son père, une sram calme et toujours silencieuse, patiente, jamais capricieuse mais quelque chose avait changé en elle, elle sortit ses dagues acérées et fit un bruit sournois.

Corus se ressaisit et fonça sur son ennemi, son père de l’autre coté en fit de même…

Les bâtons allaient frapper, le choc était imminent.

CLAC

Le bruit du bois qui s’entrechoque, où était-elle ?

Il y eut alors un sifflement…

Ton heure n’est pas encore arrivée, pas encore…je reviendrais mon petit

Ils se regardèrent, incrédules, et toujours aux aguets, ils rentrèrent chez eux.

C’était le début d’une grande aventure, il la reverrait un jour et ce jour-la, ce sera à lui et a lui seul de décider de son destin…

Sera t’il à la hauteur quand ce jour viendra ?

Chapitre Second. Le calme après la tempête.

Depuis l’incident, les années ont passés, Corus a grandit et a depuis longtemps oublié cette histoire, aujourd’hui il était devenu plus fort tout en gardant son apparence frêle, il aidait son père dans les champs et s’appliquait dans la foret avec lui, bientôt celle-ci était devenue un vrai musée d’art.

Le soir, avec sa mère il confectionnait des œuvres pour les clients qu’elle fréquentait.

Chaque jours au petit matin Corus sortait avec son bâton favoris, celui qu’il avait confectionné lui-même et il s’attaquait à un personnage de bois monté de toutes pièces par son père pour l’entraînement de son fils.

Il devenait habile avec ce bâton, avec tout els autres d’ailleurs, un jour il l’avait perdu en se rendant en ville mais son père lui en sculpta un nouveau : plus beau, plus dur et léger comme l’était Corus…Un puissant Tabi.

Cependant Corus ignorait l’existence d’un dernier bâton que son père avait créer avec soin pendant plusieurs jours et avec acharnement, il ne pourrait l’utiliser que plus tard car pour le manier il lui fallait encore plus de force et de dextérité, c’était la plus belle création de son père mais aussi la plus puissante...Il avait hâte que son fils puisse le porter un jour, il ferait alors sa fierté.

Cependant, un jour un vent froid apporta des sons aigus aux oreilles du jeune homme, les paroles d’une femme apparemment âgée, elle lui disait qu’il était temps, qu’il fallait qu’il se souvienne, que les choses oubliées doivent maintenant refaire surface…

Corus n’y prêta pas grande attention et continua de s’acharner au travail : Regarde maman, je viens de faire un super motif sur ma cape

Inconsciemment, il venait de dessiner un tofu sur cette cape crée par les tissus issus de ce même animal, il ne le savait pas encore mais ce symbole sera plus tard le signe de sa force

Ce soir la, il s’endormit paisiblement serrant encore sa cape entre ses doigts.

Chapitre Troisième. Souvenirs funestes.

Pendant une dure journée de labeur, Corus décida de faire une sieste à l’ombre d’un arbre.

Lorsqu’il fut complètement assoupi, le vent se leva et l’emporta loin de chez lui et lorsqu’il se réveilla enfin, une vieille dame l’attendait enveloppée dans une aura blanche et malgré son vieil age, elle donnait l’impression d’être jeune et réconfortante…Elle entreprit enfin de lui parler :

Bonjour mon enfant

La voix de la femme résonnait dans la tête du jeune homme et il se souvenait de cette voix, celle qu’il avait entendue quand il travaillait dans les champs…

Tu as été choisi pour former une élite, tu es le fruit d’un dieu, tu vas incarner un nouveau « type » de Feca, tu seras un Feca agile et ta tache ne sera pas des plus simples tu auras beaucoup d’ennemis sur ta route mon enfant mais sache que les dieux eux-mêmes seront avec toi

Lorsqu’il entendit le mot ennemi il eu un frisson et le souvenir de cette jeune sram qui l’avait attaqué auparavant refirent surface, il savait désormais qu’un jour…elle reviendrait.

En effet, tu es né de la volonté d’un dieu, tes parents étaient stériles mais désiraient un enfant de tout leurs cœur, les dieux ont sauté sur l’occasion, nous leur avons fourni cet enfant tant désiré mais aujourd’hui ils vont devoir t’oublier et toi aussi…

La dame fit un geste de la main et dans la brume des images apparurent, ses parents pleuraient, a coté d’eux il y avait une grande personne qui leur expliquait le périple de leurs fils et qui leur disait également qu’ils oublieraient, qu’ils feront un bond en arrière et qu’ils n’auraient jamais d’enfants, qu’ils vivraient alors le reste de leur vie dans la peine et qu’il en était désolé…

La dame occulta ces visions et regarda Corus dans les yeux.

Il est temps maintenant, tu vas retrouver tes parents une dernière fois pour préparer tes affaires et partir mais par compassion pour toi je te laisserais tes souvenirs, tes parents n’auront pas cette chance, tu sauras de cette manière qu’elle est ta vraie origine.

Pars maintenant ton destin est tracé et nous le contrôlons, du moins c’est ce que nous croyons, nous te faisons confiance

Ce soir la Corus embrassa ses parents pour la dernière fois, le lendemain, ceux-ci n’auraient plus aucun souvenir de lui et ils reprendraient le cours de leur vie sans rien savoir de cet enfant qu’ils avaient eu grâce aux dieux…Corus sera oublié.

Il prit les bâtons de son père, la cape qu’il avait confectionné un chapeau et sortit de la maison, en un éclair le ciel s’assombrit et la foudre frappa Corus qui disparut dans un nuage de fumée blanche, il se retrouva instantanément a l’intérieur d’une ville en activité dont il ne connaissait rien mais ou il savait que son destin s’accomplirait…

Son aventure venait de commencer…

Cette nuit la, ses parents se vidèrent de leurs larmes pour la dernière fois, sa mère sera ses vêtements dans ses bras et son père touchait le bois qu’il avait travaillé pour son fils…

Ils se couchèrent et firent l’amour comme lors de la venue au monde de Corus mais cette fois-ci aucun enfant ne naîtra…

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Chapitre Quatrième.

Il retomba sur le sol avec fracas, il eut pendant un instant la vision de ses parents qu’il avait quittés il y a à peine quelques minutes.

C’est alors qu’une main l’aida à se relever, cet aventurier se nommait Ahmun.

Au fil du temps, ils apprirent ensemble leurs tactiques et combattaient très souvent côte à côte.

Corus commençait à s’habituer à sa nouvelle vie : les rencontres, les amis, les amours d’un soir ceux qui durent…

D’ailleurs il tomba un jour devant un Cra, il s’appelait Mimouuu, de fil en aiguille un jour ils se marièrent, ils étaient beaux, leur amour était grand malgré les regards des autres aventuriers, pendant longtemps Corus parcourut le monde avec lui, il avait changé sa vie et sa façon de vivre la vie et de voir le monde.

Le mariage prit fin, Corus s’éloigna de lui mais lui était reconnaissant pour tout ce qu’il lui avait appris.

Corus décida de se trouver des compagnons d’armes qui de préférence utilisaient les mêmes techniques que lui et c’est de cette manière qu’il rencontra Les gladiateurs du vent.

Mais malgré tout ces bonheurs et toute ces bonnes choses, Corus perdait espoir, il se sentait seul et inutile…

Certes il trouva chez les Gladiateurs de nouveaux amis qui devinrent des incontournables de sa vie mais tout cela ne suffisait pas encore

Il s’endormit ce soir la mais…la sram était revenue le hanter, ce fut une nuit atroce, le lendemain il se mit a la recherche de celle-ci pour peut-être enfin retrouver le sommeil et trouver la force de continuer.

Chapitre Cinquième. Un nouveau départ.

Ce matin là, tout commença mal…

Les gladiateurs ses frères prirent la fuite, les querelles internes les coups de guelles et les trahisons mirent fin a leur alliance, Corus se sentit a nouveau abandonné mais en ce jour il avait un but un devoir plus grand que les gladiateurs.

Ils e prépara ajusta sa cape, fixa son chapeau et pris son bâton, il regarda le soleil un moment et soupira, c’était l’heure.

Le vent se leva, Corus leva la main et attrapa un parchemin au vol qui se baladait autour de lui, il était inscrit l’endroit exact où il pourrait trouver cette inconnue.

Il respira longuement et huma l’air avant de courir à la recherche de son passé et de son futur.

Chapitre Sixième. Les retrouvailles.

Longtemps il parcouru les plaines afin de la retrouver mais après une longue recherche il discerna a l’horizon une silhouette féminine et sombre ça ne pouvait être qu’elle…

Il se lança alors a sa poursuite avec un pas léger sans bruits sur l’herbe verte comme s’il ne la touchait pas…Au moment où il allait la frapper de son bâton celle-ci se retourna brutalement et arrêta le coup de son bouclier et de son autre main enfonça une dague dans le corps de Corus…

Il recula blessé, mais il n’avait pas perdu espoir, il s’élança à nouveau et au dernier moment il se téléporta derrière elle et lui assena un coup dans le dos.

Il y avait plus de surprise que de peur dans les yeux de cette sram ; quand elle chargea de ses dagues déjà ensanglantés, Corus l’esquiva et son bâton vient se caler entre les jambes de celle-ci qui tomba a la renverse arrangée de nombreuses plaies, le combat dura des heures dans une chaleur torride d’été et personne n’avait l’avantage…

Apres des heures d’épuisement, il y eu un coup désespéré de Corus qui pu abattre son ennemi qui vint se fracasser le crâne contre une pierre dépassant du sol…

Il vacilla et tomba en arrière sur le sol regardant le ciel et son corps sentant le vent sur sa peau, ce vent qui ne l’avait pas quitté, il perdit alors le contrôle de ses pensées et vacilla dans le noir…

Il se réveilla dans une chaumière entouré de ses amis Gladiateurs qui avaient repris en main l’alliance et la menait a bien désormais…Il voulut se relever mais sa blessure le cloua net sur le lit et il du se résoudre a ne plus bouger et attendre que sa blessure soignée le laisse tranquille.

Il regarda son bâton et fit glisser sa main tout au long de celui-ci et après ce geste il s’assoupit

Corus venait d’affronter son passé et avait retrouvé ses compagnons d’armes pour vivre encore à leurs cotés des aventures palpitantes.

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Chapitre septième. Tempête.

Il lui fallu du temps avant de se guérir de ses plaies, aujourd’hui Corus n’en portait plus que des souvenirs sous formes de cicatrices qui ne se partiraient jamais.

Après cette bataille qui avait marqué un tournant dans sa vie, Corus gagna force, courage et volonté, il n’avait plus peur de rien même si sa vie en dépendait.

C’est donc plein d’espoirs qu’il s’appliqua à s’améliorer encore lui et sa technique, one ne peut dire qu’il était encore au point, il lui en fallait encore beaucoup des aventures avant de devenir ce dont il avait toujours rêvé, un Feca accompli.

Un jour, en parcourant les champs, le jeune homme tomba nez à nez avec une dinde, elle était magnifique dans sa belle peau de couleur ébène…

Ce fut le coup de foudre, il fondit sur elle pour l’attraper mais bien entendu celle-ci s’en alla et tenta encore de s’esquiver mais Corus grâce a sa dextérité parvint enfin à la piéger dans ses filets.

Il vint alors la caresser et elle s’apaisa peu à peu et lorsqu’ils plongèrent leurs regards l’un dans l’autre, le choc fut brutal, la dinde n’avait plus besoin de filets, juste de l’affection que son maître lui portait.

Tempête, je t’appellerais Tempête.

C’est à ces mots qu’elle s’abaissa pour laisser son maître la chevaucher et ils avancèrent ensemble à la conquête du monde.

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Chapitre Huitième. Un nouvel ennemi.

Corus parcourait le monde connu avec son nouveau compagnon, il voyageait ça et là rencontrant parfois un être belliqueux qui cependant l’aidait à faire grandir sa foi dans les signes angéliques et développait de cette manière des ailes majestueuses quoi que encore jeunes.

Il fit le tour d’amakna, passa par les contrées incertaines d’Astrub et il monta même sur les collines des craqueleurs en quête d’un air plus pur et d’un vent plus fort.

C’est à cet endroit qu’il rencontra certainement son ennemi le plus redoutable

Elle était grande et une aura de puissance dispersait ses cheveux au vent mais Corus ne s’échappa pas pour autant, il continua a fixer cette belle craêtte…

Celle-ci se sentit outrée par son insolence et bondit sur lui en li envoyant des flèches douloureuses mais incertaines, après quelques péripéties Corus parvint a s’échapper de leur portée…

Il avait peu de foi en la victoire mais il continua cependant a se battre avec ardeur et courage dans la souffrance.

C’est alors qu’il parvint a bloquer son ennemi et celui-ci essayait tant bien que mal de se débattre comme il le pouvait mais il était trop tard, par on ne sait qu’elle grâce angélique Corus pu renvoyer une flèche a son expéditeur et cette flèche lui fut fatale.

Il regarda le corps étendu de cette femme et cette aura qui en avait terminer d’entourer celle-ci…

Il sourit.

Cette victoire il ne l’attendait pas, c’était une chance mais cela lui donna beaucoup de joie, il serra encore tempête contre lui alors qu’il riait aux éclats non pas de son adversaire mais de cette victoire inattendue…

Il reprit le chemin de l’aventure vers des horizons encore plus lointains et vers l’espérance d’obtenir à son tour cette aura de puissance qui ferrait la fierté de ceux qui l’avait choisi.

Chapitre Neuvième. La paix.

Ce soir là, Corus décida de s’arrêter dans les champs de Cania et de profiter de la nuit calme et paisible que la vie lui offrait.

Il se coucha à travers les champs de blés avec Tempête et s’émerveilla devant les étoiles brillantes.

La brise était fraîche et douce et elle caressait son visage comme la douce main d’une femme.

Cela faisait longtemps qu’il n’avait pu goûter à un moment tellement délicieux, il repensa à sa famille qui devait dormir à l’heure qu’il était dans un lieu reculé, loin du sien…

Il s’imagina son père, sa mère…

Ensuite il fouilla dans son sac et en sortit une flûte, il la porta à sa bouche et entama un air.

Dans cette belle nuit étoilée une mélodie douce s’éleva comme le chant des oiseaux a l’aurore, il profita de cet instant avant de s’endormir à la belle étoile et rêver de futurs encore plus magiques.

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Chapitre Dixième. Révélations.

C’est alors qu’il se réveilla, là au milieu des champs ; les yeux ouverts à la nuit.

Il se rendit compte après tant de temps du canular qui l’avait poussé jusqu’ici…

Béni des dieux ? Non ! Bien sûr que non…Il avait eu le besoin d’y croire, il le fallait, il fallait un sens à sa vie, une destinée et un but…

C’était ça...il s’était inventé son histoire, c’est lui seul qui était le maître de son destin, pourquoi fallait-il faire reposer toute une vie sur des chimères divines ?

Il eu un rictus…

Ce ne sera plus pareil désormais, il en avait fini de rêver et de s’inventer des histoires, il était temps d’assumer ce qu’il était, c’est lui qui avait choisi cette voie et c’est à lui d’écrire son futur.

Chapitre Onzième. Fin de la course, début de vie.

Il se réveilla à l’aurore, ses yeux avaient une autre couleur, son regard avait un tout autre sens… Il chevaucha Tempête et s’en alla loin des champs, les cheveux au vent.

Les jours passèrent presque identiques, pas d’ennemis, pas de rebondissements, rien de fabuleux, la vie de Corus débutait mal…

Devant cette absence d’aventures Corus cherchait à récolter des ressources qui lui seraient utiles par la suite.

Il rencontra une fille mais malheureusement, peu de temps après, il l’a surpris dans les bras d’un autre homme mais ça n’avait plus d’importance, il voulait se reposer et arrêter de courir pour profiter de ces instants de paix.

Il s’en alla dans un coin reculé de la forêt pendant quelques temps avant de reprendre ses aventures…

Chapitre Douzième. Sanglots.

Le temps passait, chaque jours en compagnie de ses amis gladiateurs jusqu’au jour où l’un d’eux mit fin à cette amitié.

Corus se sentait au plus mal et ne pouvait vivre à nouveau aux cotés de cet être qui lui était cher, un soir il déposa une lettre sur la table des gladiateurs annonçant son départ, avec plus de tristesse encore qu’un cœur arraché à ses entrailles.

Il regarda encore une fois cette maison, ces portraits de grands gladiateurs, son fondateur ainsi que le registre de guilde où ses amis figuraient…

Il savait que ce serait certainement la dernière fois qu’il pourrait les admirés et après un instant d’hésitation, il mit son Dantgoule et quitta la pièce en laissant sur le seuil une dernière larme.

Adieux mes amis, je serais toujours là pour vous quoi qu’il advienne, où que je sois.

Et enfin sa silhouette épousa les formes de la nuit et ses pas continuèrent de résonner dans l’immensité de l’univers.

Roi des Vents Messages : 1231 Inscrit le : 26/03/2006

[hrp:] La suite viendra si j'ai non seulement la chance de retrouver mes fichiers mais si en plus je me remets à écrire, il y aura donc une suite à mes aventures...

Même si personne ne lit ces histoires moi j'aime bien les écrires donc à une suite prochaine, je l'espère. [/hrp]

Roi des Vents Messages : 1231 Inscrit le : 26/03/2006

Attention...Ca va reprendre.

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